Fatma Hassona a prêté ses yeux à la réalisatrice pour voir Gaza où elle résistait en documentant la guerre. Sepideh Farsi est devenue un lien entre elle et le reste du monde, depuis sa « prison de Gaza » pendant plus de 200 jours. Les bouts de pixels et sons échangés sont devenus le film. L’assassinat de Fatma le 16 avril 2025 suite à une attaque israélienne sur sa maison en change à jamais le sens et en fait un film de résistance.